Après wall.e, Le lorax ou encore Princesse mononoké, l'écologie s'invite de nouveau dans l'animation, côté hexagonal cette fois-ci. Et avec Tante Hilda le message est clair ! Après la prophétie des grenouilles et mia et le migou, Jacques-rémy girerd revient conter sa poésie avec, cette fois-ci, un message clairement engagé à travers une histoire imaginaire et imagée, mais non sans écho sur les problèmes environnementaux.
Et pour servir son discours, les voix de Sabine Azema, Josiane Balasko ou encore André Dussollier sont à son service :
Le pitch de Tante Hilda :
C'est une fable moderne. Tante Hilda, amoureuse de la nature, conserve, dans son musée végétal protégé de toute pollution, des dizaines de milliers de plantes venues du monde entier. Beaucoup sont en voie de disparition. Parallèlement, une nouvelle céréale, l'Attilem, mise au point par des industriels du secteur agro-alimentaire, se cultive avec si peu d'eau, sans engrais, et produit des rendements si prodigieux, qu'elle apparaît aux yeux de tous comme la solution miracle pour enrayer la faim dans le monde et prendre le relais du pétrole dont les réserves s'épuisent.
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M.D. (5 février 2014)