Geostorm est un film américain de Dean Devlin, avec Gerard Butler et Abbie Cornish. Voici 3 choses à savoir sur ce film catastrophe !
Geostorm, le synopsis : Grâce à une coopération sans précédent entre États, un réseau de satellites contrôle désormais le climat et protège les populations. Jusqu'à ce que le dispositif se dérègle… S'agit-il d'un complot ou d'une faille dans le système ? S'engage alors une véritable course contre la montre…
1 - L’idée du film vient d’une petite fille de 6 ans
En effet, le concept de la machine capable de contrôler le climat a été soufflé au réalisateur Dean Devlin par sa petite fille.
Le plus naturellement du monde, elle m’a demandé pourquoi on ne pouvait pas tout simplement fabriquer une machine pour régler le problème. Ça m’a donné tout un tas d’idées sur ce qui pourrait se passer si on construisait effectivement ce genre de machine. Et si ça tournait au vinaigre ? Je suis donc parti sur tout un ensemble d'hypothèses : et si on attendait trop longtemps pour s’attaquer au changement climatique ? Et si, à l'inverse, on prenait le problème à bras-le-corps ? Si on inventait une machine extraordinaire qui permettrait de contrôler les conditions climatiques sur la planète entière ? Et si, là encore, la situation tournait au désastre ?
2 - Le décor de la Station Spatiale Internationale faisait la taille d’un porte-avion
Le plateau de tournage consacré aux simples plans se déroulant dans la Station Spatiale était gigantesque. Le réalisateur se souvient.
Il y avait neuf gigantesques plateaux de la Station Spatiale Internationale, et on y a tourné environ 72 scènes cruciales. On a conçu la SSI comme une sorte d’usine qui soutient, crée, et maintient en orbite les milliers de satellites qui contrôlent le climat de la Terre : un véritable centre de commandes dédié à la protection de la planète et de tous ses habitants.
3 - Les combinaisons qui semblent légères ne l’étaient pas.
Geostorm contient de nombreuses scènes où les personnages flottent en apesanteur. Pour ces séquences, les acteurs étaient suspendus à des câbles, habillés de combinaisons assez lourdes. Gerard Butler se souvient de ces moments et des conditions de tournages un peu compliquées.
La combinaison pesait à peu près 30 kilos. Par-dessus le marché, nous étions suspendus dans les airs par des harnais et du matériel en tout genre, mais il fallait donner l’impression d’être parfaitement détendu puisqu'on était censé être en apesanteur.