Astérix : Martin Fourcade reprend le monologue d'Edouard Baer

Astérix : Martin Fourcade reprend le monologue d'Edouard Baer

L'athlète Martin Fourcade, peut-être le plus grand champion de l'histoire du biathlon, s'est fendu d'une reprise du célèbre monologue d'Edouard Baer dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, alors qu'il venait de remporter le relais avec ses partenaires de l'équipe de France.

Martin Fourcade, véritable légende du biathlon, est très en forme en ce moment, et ça s'est vu ce week-end. Samedi 18 janvier, à la coupe du monde qui passait par Rupholding, les français ont gagné l'épreuve du relais, après la victoire de l'homme fort de la discipline au sprint du jeudi - et avant sa victoire à l'épreuve de poursuite qui se tenait le dimanche.

Martin Fourcade dans une imitation culte

L'ambiance était au donc au beau fixe ce samedi, et le biathlète Simon Desthieux a posé une question à son collègue et ami Martin Fourcade, devant l'autre relayeur Quentin Fillon-Maillet, hilare :

est-ce que c'est une bonne situation de gagner le relais avant les Mondiaux ?

Évidemment, toute question commençant par : "est-ce que c'est une bonne situation..." fait immanquablement penser au monologue culte d'Edouard Baer dans Astérix et Obélix : Mission CléopâtreUne question à laquelle Martin Fourcade s'était préparé, puisqu'il a repris à la perfection la fameuse tirade.

Comme il le précise à la fin de la vidéo, le champion s'était préparé depuis longtemps, attendant patiemment qu'un journaliste lui pose la question de "la bonne situation", mais comme cette question n'arrivait pas, c'est donc Simon Desthieux qui a tendu la perche à Martin Fourcade.

La synchronisation de Martin Fourcade est d'un niveau expert, et en juxtaposant les séquences, on a la preuve que cette reprise était parfaitement exécutée. Quintuple champion olympique pour un total de sept médailles aux JO, onze fois champion du monde, sept fois vainqueur du classement général de la Coupe du monde, le biathlète est donc aussi un grand fan de cinéma et d'Edouard Baer. Une belle référence, d'autant plus quand on sait qu'à l'origine ce monologue était une impro dont les producteurs ne voulaient pas, comme le racontait l'acteur en 2005 à Écran large.

Pour le plaisir notre 100% culte relatif à cette magnifique scène