Ghostland : Mylène Farmer et Crystal Reed enlacées sur la première image

Ghostland : Mylène Farmer et Crystal Reed enlacées sur la première image

Une nouvelle photo de "Ghostland", film d’horreur signé Pascal Laugier avec Mylène Farmer et Crystal Reed, vient tout juste d’être partagée. Le long-métrage sortira dans nos salles le 14 mars 2018.

Les fans de Mylène Farmer (et ils sont nombreux !) sont sur le qui-vive. Dans quelques mois, le 14 mars 2018 plus précisément, sortira dans nos salles obscures Ghostland, film d’horreur sous la houlette de Pascal Laugier (Martyrs). Une énième machine à frisson ? Oui et non, car ce dernier mettra donc en scène l’interprète de Sans Contrefaçon. Ce n’est peut-être qu’un détail pour vous, mais pour les aficionados, cela veut dire beaucoup.

Mylène Farmer, figure maternelle et protectrice

Du long-métrage, hélas, on ne sait encore peu. Le pitch ? Une mère (Mylène Farmer donc) et ses deux filles (Crystal Reed et Anastasia Phillips) héritent d'une maison. Mais dès le premier soir, des meurtriers s’infiltrent dans la demeure, provoquant toute une série de drames dont les jeunes filles ne ressortiront pas psychologiquement indemnes. Seize années plus tard, la tribu est à nouveau réunie sous ce toit maudit, où, on vous le donne en mille, d’étranges événements vont se produire

Sur le nouveau cliché partagé, on peut voir la chanteuse et Crystal Reed (vue en ce moment dans Gotham), enlacées. Plus exactement, il semblerait que la mère console la fille. Davantage habituée aux partitions sulfureuses dans ses clips, jouer les figures maternelles et protectrices relève presque du rôle à contre-courant pour Mylène Farmer.

Fin octobre, une série d'images avaient été diffusées par le site Bloody Disgusting. Le ton semblait alors bien plus inquiétant...

 

Comédienne de formation

Si un certain public attend Ghostland avec grande impatience, c'est que Mylène Farmer fait partie des rares artistes français à avoir toujours donné une importance cruciale à son image, créant par la même occasion un univers visuel gothique et fantasmagorique. Certains de ses clips (Libertine, Pourvu qu’elles soient douces), pensés comme de véritables courts-métrages, sont ainsi rentrés dans l’histoire.

Il faut dire que l’artiste, en plus d’être chanteuse, se destinait à une carrière de… Comédienne. En 1994, elle tente même de conquérir le 7e art avec Giorgino, film chapeauté par son fidèle comparse, Laurent Boutonnat, qui a réalisé la plupart de ses clips. Enfin, '"conquérir'"est un bien grand mot : ledit Giorgino est un échec tant critique que public et ne connaît qu’un passage éclair en salles, se voyant bien vite retiré de l’affiche.

Gageons que ce second essai (on ne compte pas sa voix dans les Minimoys) connaisse un destin moins funeste.