Dans "J'adore ce que vous faites", Gérard Lanvin et Artus jouent respectivement les rôles d'un acteur de cinéma populaire, et d'un fan un peu envahissant. Juste avant la sortie, Gérard Lanvin nous avait raconté une rencontre inoubliables avec des admirateurs, après un match de rugby au Stade de France...
J'adore ce que vous faites : Artus est fan de Gérard Lanvin
Dans la comédie J'adore ce que vous faites réalisée par Philippe Guillard, Gérard Lanvin joue son propre rôle. Il s'apprête à tourner dans un film américain dans le sud de la France, lorsqu'il rencontre inopinément Momo Zapareto (Artus), un jeune homme un peu trop fan de l'acteur, bien décidé à se faire une place aux côtés de son idole.
Ainsi, après avoir eu affaire à Benoît Poelvoorde, Gérard Lanvin trouve en la personne d'Artus un nouveau "boulet". Pour le plus grand plaisir des spectateurs (voir notre critique).
Gérard Lanvin : sa folle anecdote avec des fans
Avant la sortie au cinéma du film J'adore ce que vous faites, nous avions rencontré Artus et Gérard Lanvin. L'occasion de demander aux deux comédiens s'ils avaient, eux aussi, parfois rencontré des fans un peu envahissants.
Et Gérard Lanvin s'est souvenu d'une rencontre mémorable, survenue un soir, après un match de rugby au Stade de France.
En effet, après la victoire de l'équipe de France à un match du tournoi des Six Nations, l'acteur décide de prendre un taxi pour rentrer chez lui. Mais pas un seul véhicule n'est disponible. Il se voit donc obligé de rentrer à Paris à pied. Sur son chemin, il croise des policiers qui lui proposent d'arrêter une voiture, pour le conduire jusqu'à Porte de la Chapelle.
Et il monte alors à bord d'une 504, en compagnie de deux jeunes. Peu avant d'arriver à destination, le conducteur regarde son rétroviseur, et s'aperçoit que son nouveau passager n'est autre que Gérard Lanvin, LE Gérard Lanvin de la comédie Le Boulet :
En me parlant, il regarde dans le rétro et il fait "bah p****n ! C'est Moltès !" Et son copain se retourne, il fait "oh zyva, c'est Moltès !" et direct, y'a les portables. Donc ils appellent tous leurs potes (...) et ça a duré trois heures, puisqu'ils m'ont fait faire le tour du quartier pour ne pas être traités de mythos. Et donc au lieu de mettre vingt minutes, j'ai mis beaucoup plus de temps. Mais c'était sympathique.
L'intégralité de l'interview est disponible ci-dessous :