Ready Player one : une affiche chargée en indices !

Ready Player one : une affiche chargée en indices !

Après un poster de promotion qui a beaucoup fait parler de lui, une affiche qui pourrait bien remporter tous les suffrages !

À une quarantaine de jours de la sortie de Ready Player One, Warner Bros FR a tweeté hier un visuel pour le moins fourni. En légende, « le destin du monde réel se joue dans un monde virtuel ». Entre rêve et réalité, cette fiction promet de nous emmener dans des univers insoupçonnés !

Premier visuel… Disproportionné

2045. Futur dystopique. Réalité sans espoir. Seule solution pour atteindre le bonheur : passer sa vie dans l’Oasis, réalité virtuelle où rien n’est impossible. Le créateur de cette dernière, James Halliday, décède. Est alors diffusée une vidéo dans laquelle il explique avoir dissimulé un trésor, un œuf de Pâques pour être plus précis, dans l’univers virtuel. Qui mettra la main dessus aura non seulement une récompense de 500 milliards de dollars, mais aussi le contrôle total sur l’Oasis. Wade Watts, ado orphelin, se lance dans l’aventure...

Avant d’étudier de plus près le cadeau de la Warner, petite réminiscence du visuel initial. Celui qui a tant amusé internet. Comme vous pouvez le constater, Tye Sheridan (qui interprète Wade Watts) se tient sur une échelle. Tout semble normal, si ce n’est sa jambe droite, quelque peu dérangeante. Et pour cause : elle s’étire au point de ne pas respecter l’anatomie humaine ! À moins que les membres ne s’allongent dans la réalité virtuelle ? On peine à le croire tout de même. Tellement que les tweets ironiques et autres moqueries ont fusé sur la toile début décembre ! Enfin, affaire classée.

Second visuel… Chargé

En l’attente d’en savoir plus sur le fameux Easter egg, concentrons-nous sur le cadeau que nous a fait la maison de production. Une affiche spectaculaire qui foisonne de détails aussi croustillants les uns que les autres. Si bien qu’on ne sait plus où donner de la tête !

Bien entendu, cette affiche n’est pas sans rappeler le trailer du film en termes de clins d’œil rétro. Nul doute d’ailleurs que les mélancoliques vibrent déjà à la vue des références faites à la pop-culture des trois dernières décennies. À voir alors jusqu’où la nostalgie du grand Spielberg l’aura emmené.

Rendez-vous le 28 mars dans les salles obscures !