Wonder Woman : Lynda Carter répond aux attaques de James Cameron

Wonder Woman : Lynda Carter répond aux attaques de James Cameron

Après Patty Jenkins , c'est au tour de Lynda Carter, la première interprète de Wonder Woman dans les années 70 , de se dresser contre James Cameron qui a eu le malheur de réduire la réalisation de Patty Jenkins au beau costume porté par Gal Gadot...

Le réalisateur canadien semble trouver le temps bien long ces derniers temps. Tellement long qu'il a pris le temps de répondre à la réaction de Patty Jenkins, la réalisatrice de Wonder Woman, qui avait défendu son film contre l'attaque de ce dernier sur le film qu'il considère « comme un pas en arrière ». Dans une interview qu'il a accordée au Hollywood Reporter ce mercredi 27 septembre, James Cameron persiste et signe dans son attaque, en réduisant cette fois-ci tout le film aux beaux atours de Gal Gadot : «Je veux dire, était miss Israël, et portait une sorte de costume bustier très moulant. Elle est absolument canon. Pour moi, ce n'est pas révolutionnaire ».

Ni une, ni deux, c'est au tour de l'actrice Lynda Carter de s'offusquer des commentaires de James Cameron. L'actrice, qui a interprété le personnage de Wonder Woman pendant quatre ans dans la série télévisée de Stanley Ralph Ross, s'est dressée contre le réalisateur sur sa page page Facebook « A James Cameron -ARRÊTEZ de mépriser Wonder Woman : mon pauvre. Peut-être que vous ne comprenez pas le personnage. Je le comprends très bien. Vos basses attaques contre une réalisatrice brillante, Patty Jenkins, sont mal avisées. Ce film visait juste. Gal Gadot était géniale. Je le sais, Monsieur Cameron ; j'ai incarné ce personnage pendant plus de quarante ans. Alors - ARRÊTEZ ».

On vous aura prévenus, faut pas déconner avec la gent féminine, et encore moins avec la famille Wonder Woman. D'autant plus que la réussite du film au box-office fait clairement mentir ses haters : avec plus de 800 millions de dollars de recettes mondiales et un grand succès critique, James Cameron peut bien continuer à brasser du vent.

(Julie Albesa, 29 septembre 2017)