La Maison d'en face sur M6 : pourquoi Julie de Bona a failli refuser le rôle ?

La nouvelle fiction d'M6

La Maison d'en face sur M6 : pourquoi Julie de Bona a failli refuser le rôle ?

Dans "La Maison d'en face", la nouvelle série diffusée sur M6 (et déjà disponible en intégralité sur Salto), Julie de Bona interprète une jeune maman confrontée à un terrible drame. Découvrez pourquoi elle a d'abord refusé le rôle.

La Maison d'en face : c'est quoi cette nouvelle série ?

Diffusée à partir de ce mardi 20 septembre sur M6, La Maison d'en face est une mini-série de six épisodes, adaptée de la série néerlandaise Nieuwe Buren. Elle se déroule dans un pavillon de banlieue, où emménagent Ève et Yanis, jeunes parents d'une petite fille âgée d'un mois. Mais suite à un tragique accident, cette dernière meurt subitement. Ils parviennent à trouver du réconfort auprès de leurs voisins d'en face, Lucie et Stéphane, mais très vite leurs destins s''entremêlent jusqu'à un point de non-retour.

La maison d'en face
La maison d'en face © M6

Au casting de ce thriller dans la veine de Desperate Housewives, on retrouve des habitués du petit écran : Julie de Bona (Ève), Marc Ruchmann (Yanis), Thierry Neuvic (Stéphane) et Caterina Murino (Lucie).

La scène pour laquelle Julie de Bona a failli refuser la série

Omniprésente en ce moment sur nos écrans, Julie de Bona (également au casting de la série de TF1 Les Combattantes), a bien failli dire non à La Maison d'en face. En raison d'une séquence en particulier qu'elle redoutait, celle de la mort du bébé. Elle s'en est expliquée dans une interview donnée à nos confrères de TéléStar :

Au début j'ai refusé le rôle pour ça, en disant "je n'ai pas du tout envie de rentrer là-dedans, ça me fait peur". J'en ai parlé au réalisateur que je connaissais bien, parce qu'on avait déjà fait Innocente ensemble, et il m'a rassurée. Il m'a dit qu'il voulait être très pudique, ne pas la filmer... J'ai dit OK tout en sachant que j'allais quand même devoir jouer avec ça, car c'est le moteur pour mon personnage. En parlant avec mon agent et le réalisateur, je me suis dit qu'il allait falloir que je bosse. C'était une vraie dissociation pour que tout ça soit vraiment loin de moi. À partir du moment où j'ai fait ce travail-là, ça n'était plus du tout un problème.