10 acteurs bien plus beaux que les personnages historiques qu’ils ont incarnés

10 acteurs bien plus beaux que les personnages historiques qu’ils ont incarnés

On peut aussi parler de charisme, de prestance, de petit truc en plus, qu’importe. Même les oubliés de « la grande loterie de la beauté » avaient droit au pouvoir et à l’amour !

Soit à l’époque les gens étaient « moches », soit les peintres ne leur rendaient pas hommage. Voici venir le top 10 des acteurs et actrices objectivement bien plus gâtés par dame nature que les personnages historiques qu’ils ont interprétés !

Mel Gibson aka William Wallace

En 1995, Mel Gibson nous offrait Braveheart, biopic au sein duquel il incarnait William Wallace. Héros et symbole de l'indépendance écossaise de la fin du XIIIe siècle, le chevalier mena son peuple contre l'occupation des Anglais sous le Roi Édward I.

Difficile d’imaginer Wallace aussi charismatique que Gibson… L’homme avait en tous les cas, et selon la gravure, le visage beaucoup plus émacié. Rien à voir avec la mâchoire carrée de l’acteur ! Que dire par ailleurs du regard envoûtant de celui qui sait ce que veulent les femmes ? Incomparable.

Leonardo DiCaprio aka Louis XIV

L’année 1998 marqua, au-delà de la victoire des Bleus lors de la coupe du monde de football, la sortie de L’Homme au masque de Fer de William Wallace. Euh non, de Randall Wallace, on s’y perdrait ! Leonardo DiCaprio y campait Louis XIV, sans conteste le plus connu des Rois made in France. En effet, son règne de 72 ans est le plus long de l'Histoire de l’hexagone. Et souvenez-vous, l’acteur interprétait du même coup Philippe, jumeau du roi donc, l’homme derrière le masque de fer !

1660. Les célèbres mousquetaires se sont séparés. Athos (John Malkovich) s'est retiré sur ses terres et consacre son temps à l'éducation de son fils Raoul. Aramis (Jeremy Irons) est devenu général des jésuites. Porthos (Gérard Depardieu) se languit en attendant l'occasion de ferrailler. Seul D'Artagnan (Gabriel Byrne) est resté fidèle au Roi qui l'a fait capitaine des mousquetaires. La tête couronnée va les réunir à nouveau mais sans le vouloir. Il s'est amouraché de la fiancée de Raoul (Peter Sarsgaard), le fils d'Athos, et pour se débarrasser de ce rival, il l'envoie au front, le condamnant à une mort certaine. Athos jure alors de venger son fils.

Le Roi Soleil ou Louis le Grand pour les intimes n’avait, au vu de la peinture, rien à voir avec le visage angélique de DiCaprio. Oublions la perruque pour nous concentrer seulement sur le visage du véritable souverain… Quelque peu ingrat et porcin, il faut bien l’avouer !

Joaquin Phoenix aka Commode

Ridley Scott dévoilait son célèbre péplum Gladiator en l’an 2000. Joaquin Phoenix y incarnait l’Empereur Commode, un Romain sanguinaire tristement célèbre pour sa cruauté. Sa mort ouvrit une période de crise en Italie connue sous le nom de « deuxième année des quatre Empereurs ».

Le général romain Maximus (Russell Crowe) est le plus fidèle soutien de l'empereur Marc Aurèle (Richard Harris), qu'il a conduit de victoire en victoire avec une bravoure et un dévouement exemplaires. Jaloux du prestige de Maximus, et plus encore de l'amour que lui voue l'empereur, le fils de Marc Aurèle (pas si commode que cela) ordonne l'arrestation du général et son exécution. Maximus échappe à ses assassins mais ne peut empêcher le massacre de sa famille. Capturé par un marchand d'esclaves, il devient gladiateur et prépare sa vengeance.

Vous nous direz, difficile de comparer Joaquin Phoenix à une statue immaculée. Et pourtant… Si prestance il y a, vous conviendrez qu'elle perce plus l'écran que la statue n'est-il pas ?

Monica Bellucci aka Cléopâtre

Alain Chabat dévoilait en 2002 Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre. Impossible d’oublier Monica Bellucci dans la peau de la célèbre Reine d’Égypte alias Cléopâtre VII. Pour la petite histoire, cette dernière épousa successivement ses deux frères Ptolémée XIII et Ptolémée XIV avant de devenir la maîtresse de Jules César.

Cléopâtre, la reine d’Égypte, décide, pour défier l'Empereur romain Jules César (Chabat), de construire en trois mois un palais somptueux en plein désert. Si elle y parvient, celui-ci devra concéder publiquement que le peuple égyptien est le plus grand de tous les peuples. Pour ce faire, Cléopâtre fait appel à Numérobis (Jamel Debbouze), un architecte d'avant-garde plein d'énergie. S'il réussit, elle le couvrira d'or. S'il échoue, elle le jettera aux crocodiles. Celui-ci, conscient du défi à relever, cherche de l'aide auprès de son vieil ami Panoramix (Claude Rich). Le druide fait le voyage en Égypte avec Astérix (Christian Clavier) et Obélix (Gérard Depardieu). De son côté, Amonbofis (Gérard Darmon), l'architecte officiel de Cléopâtre, jaloux que la reine ait choisi Numérobis pour construire le palais, va tout mettre en œuvre pour faire échouer son concurrent.

Alors certes il reste difficile de se figurer l’Égyptienne à partir d'une image numérique qui ne laisse même pas voir ses courbes harmonieuses, mais notre flair nous dit qu'en plus d'être plus pulpeuse l'Italienne a un plus beau nez !

Colin Farrell aka Alexandre III

Oliver Stone présentait en 2005 le biopic historique Alexandre. Dans le rôle d’Alexandre IIII, nous découvrions l’acteur Irlandais Colin Farrell, en blond. Roi de Macédoine, Alexandre III est l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité. Avec toutes ses conquêtes, il obtint souvent le qualificatif de Roi Dieu, qu’il pensait lui-même être. En effet, l’homme se disait chargé d’une mission divine... Un peu mégalo le Monsieur mais bon.

Le film nous présentait ainsi la vie d'Alexandre le Grand, narrée par Ptolémée (Anthony Hopkins) : de son enfance à sa mort, des cours d'Aristote (Christopher Plummer) aux conquêtes qui firent sa légende, de l'intimité aux champs de bataille. Fils du roi Philippe II (Val Kilmer), il soumit la Grèce révoltée, fonda Alexandrie, défit les Perses, s'empara de Babylone et atteignit l'Indus pour établir à 32 ans l'un des plus grands empires ayant jamais existé. Angelina Jolie campait quant à elle Olympias et Jared Leto Héphaistion. Rien que du beau monde en résumé !

Comment dire ? La fresque est abîmée certes mais comparer ce profil rudimentaire à l’éclat de Farrell est pure calomnie. Autrement dit, si l'élève dépasse le maître, dire que le brouillon est une pâle copie face au chef-d'œuvre est un euphémisme !. On y va un peu fort, mais c’est l’idée.

Kristen Dunst aka Marie-Antoinette d’Autriche

Marie Antoinette (2006) de Sofia Coppola évoquait la vie de la reine d'origine autrichienne, épouse mal-aimée de Louis XVI (Jason Schwartzman), guillotinée en 1793. Au sortir de l'adolescence, la jeune fille découvre un monde hostile et codifié, un univers frivole où chacun observe et juge l'autre sans aménité. Mariée à un homme maladroit qui la délaisse, elle est rapidement lassée par les devoirs de représentation qu'on lui impose. Elle s'évade dans l'ivresse de la fête et les plaisirs des sens pour réinventer un monde à elle. Y a-t-il un prix à payer à chercher le bonheur que certains vous refusent ?

Incarnée par l’actrice américaine Kristen Dunst, Marie-Antoinette fut la dernière reine de France et l’épouse de Louis XVI. Sans médisance aucune (un peu quand même), on espère pour la Reine que le peintre qui à l’époque eût le privilège de la représenter était soit en état d’ébriété avancé soit dénué de tout talent… Comparer les deux femmes, c’est un peu comme mélanger les torchons et les serviettes vous ne trouvez pas ?

Jonathan Ryes-Meyer aka Henri VIII

Créée par Michael Hirst, la série Les Tudors (2007) nous narrait la vie pour le moins tourmentée du jeune Henry VIII. De ses relations tumultueuses avec les femmes à ses alliances politiques, elle s'intéressait au début de son règne. Une Angleterre du 16ème siècle ayant un chaud lapin doublé d'un chasseur sachant chasser à sa tête si vous voulez !

Incarné par l’acteur Irlandais Jonathan Rhys Meyers, le Roi Henry VIII régna sur l’Irlande et l’Angleterre durant 37 ans. Et alors là, on tient notre top 1 de l’incomparable ! Un homme petit, disgracieux et enrobé versus un visage sculpté par les anges doublé d’une élégance divine. Un vilain méchant pas beau face à un beau diable en gros.

Holliday Grainger et François Arnaud aka Lucrezia et Cesare Borgia

La série The Borgias (2011), créée par Neil Jordan, nous contait l'histoire des Borgias, noble famille de la Renaissance italienne, célèbre pour ses hauts faits de corruption. Aux côtés de Jeremy Irons aka Rodrigo Borgia, nous découvrions le couple incestueux formé par Cesare et sa sœur Lucrèce (Lucrezia en italien, ça sonne tout de suite mieux !).

À nos yeux, Holliday Grainger incarne la blondeur angélique et François Arnaud le feu sous la glace. La fraîcheur et la grâce enrôlée aux côtés de la virilité mêlée de douceur naturelle. Comparer Grainger à la peinture représentative de la vraie Lucrezia (paix à son âme), ça fait mal. On espère seulement que l’œuvre n’est pas représentative de ce qu’elle fut vraiment. Sinon c’est décevant. Et que dire de son frère ? Son portrait donne une idée de l’homme qu’il était, plutôt bien fait de sa personne en comparaison à ses contemporains sur toiles… Mais ça ne vaut pas l'Adonis qu'est François !

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Daniel Day-Lewis aka Abraham Lincoln

Le biopic dramatique Lincoln (2013) de Steven Spielberg racontait les derniers mois tumultueux du mandat du 16e Président des États-Unis. Dans une nation déchirée par la guerre civile et secouée par le vent du changement, Abraham Lincoln met tout en œuvre pour résoudre le conflit, unifier le pays et abolir l'esclavage. Cet homme doté d'une détermination et d'un courage moral exceptionnels va devoir faire des choix qui bouleverseront le destin des générations à venir.

Vous l’aurez compris, il aura fallu très largement grimer Daniel Day-Lewis pour que la ressemblance soit frappante. Mis à part les sourcils naturellement broussailleux, l’acteur n’a rien à voir avec le Président quelque peu, sauf votre respect Monsieur, disgracieux. Encore que le Président esquissait un sourire. Cela ne le rendait pas beau pour autant, mais un peu plus gracieux, comparé à la majorité des clichés en noir et blanc..."

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Zac Efron aka Ted Bundy

Nous conclurons ce top sur un personnage historique plus récent, mais tristement célèbre tout de même. Nous avons nommé le serial violeur-killer Ted Bundy, qui a terrorisé l'Amérique des seventies. Nous découvrions également sa relation compliquée avec sa petite amie Liz (Lily Collins) via le film Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile de Joe Berlinger, qui sortira prochainement.

Bien que les deux hommes soient beaux et charismatiques, Zac Efron l’emporte selon nous haut-la-main côté perfection des traits. Le regard bleu azur peut-être. La gentillesse communicative surtout, versus le mal incarné. Inconsciemment sûrement, et bien qu’Efron ait été parfaitement bien choisi pour ce rôle, nous ne pouvons que trouver plus attirant l’acteur face au tueur.

Avez-vous vous aussi en tête des actrices ou acteurs de films ou séries plus attirants physiquement que les personnages qu’ils ont interprétés ? À vos commentaires bande de médisants !