Independence Day : découvrez la fin alternative

Les Aliens n'avaient aucune chance

Independence Day : découvrez la fin alternative

"Independence Day" de Roland Emmerich a cartonné au box-office en 1996 et a propulsé la carrière de Will Smith au cinéma. Découvrez ci-dessous la fin alternative du film.

Independence Day : Will Smith contre les Aliens

En 1996, Roland Emmerich, le roi incontesté des films catastrophe, met en scène Independence Day. Un blockbuster de science-fiction dans lequel une menace extra-terrestre s'abat sur la Terre. Pour la défendre, les États-Unis peuvent compter sur le Capitaine Steven Hiller interprété par Will Smith (un choix de casting qu'a défendu coûte que coûte le réalisateur).

Independence Day
Independence Day © 20th Century Studios

À sa sortie, le film connaît un succès fulgurant. En effet, pour un budget de 75 millions de dollars, le long-métrage en rapporte plus de 800 au box-office mondial. Il domine le box-office américain en 1996, devant Twister et Mission : Impossible. Un succès que n'arrivera pas à reproduire sa suite, Independence Day : Resurgence, sortie en 2016.

La fin alternative d'Independence Day

Pour mettre fin à la menace extra-terrestre, le scientifique David Levinson (Jeff Goldblum) a l'idée de télécharger un virus informatique dans le vaisseau-mère des Aliens. En faisant cela, il met en échec les boucliers de tous les autres vaisseaux qui menacent la Terre.

Independence Day
Independence Day © 20th Century Studios

La contre-attaque est donc lancée le 4 juillet, et les pilotes de l'air s'engagent avec leurs F-18 et leurs missiles. Mais rapidement, les engins se font détruire par des navettes aliens qui entrent dans la bagarre, et plus aucun missile n'est disponible. C'est à ce moment-là que Russell Casse, un civil qui s'était porté volontaire pour la mission, débarque avec deux missiles en état de marche. Mais l'un d'eux est bloqué. Il décide alors de se sacrifier en propulsant son F-18 dans l'émetteur du rayon Alien.

Dans la fin alternative, Russell Casse ne volait pas dans un F-18 mais dans son petit biplan rouge que l'on pouvait voir au début du film. Deux missiles étaient accrochés de chaque côté des ailes, ce qui signifie qu'il avait prévu de se sacrifier, étant donné que l'avion ne disposait pas de propulseur pour envoyer les missiles.

Elle est à voir ci-dessous :

Roland Emmerich trouvait la séquence moins émouvante que celle qui se trouve dans le film, lorsque le pilote choisit de se sacrifier lorsqu'il se rend compte que son missile est bloqué.