Saw X : alertée par les cris, la police est intervenue pendant la production du film

Saw X : alertée par les cris, la police est intervenue pendant la production du film

"Saw X" promet d'être particulièrement éprouvant ! Aux USA la police est intervenue pendant la production du film alertée par les cris émanant de la salle de montage lors d'une séquence de torture très très gore.

Saw X : une véritable boucherie ?

Les fans d'horreur trépignent d'impatience : le 25 octobre prochain, la saga horrifique Saw est de retour au cinéma. Et ce dixième volet promet de revenir aux bases de l'histoire de John Kramer.

En effet, Saw X, se déroule entre les deux premiers films de la saga. Tobin Bell est de retour dans la peau de Kramer, alors qu'il se rend au Mexique dans l'espoir d'essayer un traitement expérimental pour son cancer.

Mais les choses basculent lorsqu'il découvre qu'il s'est fait piéger, et que tout ceci n'est qu'une escroquerie visant des malades vulnérables et désespérés.

Animé d'un nouveau but, il décide alors de se venger, et de piéger à son tour les escrocs. Et question pièges, il n'a rien perdu de sa superbe, en mettant au point des mécanismes diaboliques et ingénieux, à l'image du terrible "aspirateur à yeux".

Les premiers avis sur le film témoignent d'un retour aux sources bienvenu, et classent Saw X parmi les meilleures suites de la saga horrifique initiée par James Wan. Et si vous attendez du gore, vous devriez être servis (le studio a même distribué des sacs à vomi aux premiers spectateurs…).

La police a été alertée aux États-Unis

En France, Saw X a été interdit aux mineurs de moins de 16 ans. On peut donc s'attendre à des séquences de torture particulièrement gores.

De l'autre côté de l'Atlantique, la police a même dû intervenir lors du montage du film. En effet, le réalisateur du film a dévoilé lors d'une interview donnée à NME qu'il avait dû stopper une séance de montage lorsque des policiers sont venus frapper à la porte du studio.

Ce sont des voisins, alertés par les cris, qui ont appelé les autorités, pensant qu'une personne était réellement en train de se faire torturer derrière la porte. Il s'agissait du montage de la scène mettant en scène le terrible "aspirateur à yeux".

Quelqu'un a sonné (...) et je vois sur la caméra mon monteur qui ouvre et la police qui dit "les voisins ont appelé disant que quelqu'un était torturé à mort ici" et il était genre "non mais je ne fais que travailler sur un film. Vous pouvez entrer et regarder si vous voulez." Ils se sont marrés en disant que ça devait être une performance très réaliste. C'était drôle.